Créé en 2015, 57 – Le Parti des Mosellans est le seul parti régionaliste qui défende les intérêts spécifiques des habitants de la Moselle.
57 – Le Parti des Mosellans s’engage en faveur d’une politique décentralisée: les décisions politiques doivent être prises au plus près des citoyens et ces derniers doivent avoir la possibilité de les influencer. C’est la raison pour laquelle nous demandons l’instauration en France d’un État fédéral.
57 – Le Parti des Mosellans œuvre pour que les habitants de notre région aient la possibilité d’y travailler et de bien y vivre. Nous accordons donc une importance particulière à la mise en œuvre d’une politique régionale en matière d’environnement et de développement durable.
En tant que parti centriste indépendant et pragmatique, notre parti s’engage – indépendamment de tout lien de subordination et de toute idéologie – en faveur du développement de la Moselle et du bien-être de ses habitants.
La diversité culturelle doit être garantie. Nous accordons un intérêt particulier aux intérêts de la population germanophone du département, mais nous agissons pour l’ensemble des habitants de la Moselle, qu’ils soient francophones ou germanophones et quelle que soit leur origine. La diversité culturelle constitue une plus-value qu’il convient de valoriser et le bilinguisme doit absolument être promu.
Le droit local alsacien-mosellan est à la fois un élément de notre identité et un outil efficace dans la vie des affaires ainsi que dans plusieurs domaines du droit du travail et du droit social. Afin de garantir la pérennité de ce droit dont l’existence est menacée à moyen terme, nous préconisons sa transformation en droit territorial.
Pour 57 – Le Parti des Mosellans, c’est précisément dans les régions frontalières que l’intégration européenne doit faire ses preuves. La politique prônée par notre mouvement est en adéquation avec les évolutions économiques, sociétales et politiques de notre région frontalière de l’Allemagne et du Luxembourg et nous encourageons la coopération transfrontalière. Nous pouvons ainsi apporter de nouvelles impulsions à la politique en Lorraine, par exemple dans le domaine du marché de l’emploi et en matière de politique sociale et de la formation.
Notre région présente un fort potentiel ! Ensemble, nous pouvons la valoriser et en faire bénéficier le plus grand nombre.
Départ de plusieurs élus du groupe majoritaire pour fonder le groupe dissident « Alsace et territoire », condamnation en première instance de Lilla Merabet, vice-présidente du Conseil régional, ANTICOR qui s’interroge sur les conflits d’intérêts de Valérie Debord, autre vice-présidente, mécontentement très majoritaire des citoyens des 10 départements constituant l’entité GrandEst face à l’absence d’économies et à l’explosion des dépenses, y compris inutiles (comme ces coûteux bureaux de représentation du Grand Est à Paris inaugurés il y a 10 jours) et maintenant Jean Rottner qui réintègre à temps partiel son emploi de médecin urgentiste à l’hôpital de Mulhouse comme s’il anticipait la sanction des urnes en 2021 : cela commence à sentir le roussi pour la majorité régionale.
Dans une interview qui a suivi son communiqué de presse concernant la publication du rapport du préfet MARX, Mathieu KLEIN, président du conseil départemental de Meurthe-et-Moselle suggère une fusion des départements de la Moselle et de la Meurthe-et-Moselle. De manière péremptoire, il soutient qu’une entité Alsace-Moselle est « parfaitement inadaptée aux enjeux de la Lorraine du XXIème siècle » . Il n’apporte toutefois aucun argument à cette affirmation. Une telle entité n’aurait pas vocation à répondre aux « enjeux de la Lorraine du XXIème » mais bien à défendre et promouvoir, à long terme, les intérêts mosellans tant négligés par le Conseil régional de Lorraine contrôlé pendant deux mandatures successives par les camarades socialistes de Monsieur KLEIN.
L’amendement n°2531 présenté par le gouvernement le 18 juillet dernier ne répond pas à la problématique posée par l’avenir du droit local alsacien-mosellan. Contrairement à ce qu’indique l’exposé sommaire de cet amendement, il n’y a pas eu de malentendu sur la portée de l’arrêt SOMODIA . C’est bien l’absence de possibilité d’élargissement du champ d’application du droit local, et non pas la simple possibilité de faire évoluer ce droit, qui a été critiquée. C’est d’ailleurs une question d’élargissement du champ d’application qui s’est posée avec la proposition des administrateurs du Régime Local d’Assurance Maladie (RLAM) d’Alsace-Moselle, lors de l’introduction de la complémentaire obligatoire en France en 2015, d’intégrer les nouvelles prestations visées par la nouvelle loi dans le mécanisme du régime local plutôt que dans une complémentaire privée comme ailleurs en France.
MICHEL CASTELLANI, PAUL-ANDRE COLOMBANI, PAUL MOLAC ET PEIO DUFAU SONT MEMBRES DU GROUPE
"LIBERTÉS ET TERRITOIRES"
PAULU SANTU PARIGI EST MEMBRE DU GROUPE
"Union Centriste"