La réponse est tombée lors d’une session parlementaire de questions au gouvernement: non, la circulaire interdisant l’usage du ñ ne sera pas réécrite. Loin d’une bourde ou d’un oubli, le texte officiel interdisant certains prénoms bretons est donc confirmé par le pouvoir exécutif. Le droit même de choisir le prénom de leur enfant est refusé aux parents du petit Fañch, et le sera à d’autres. Comment ne pas se révolter contre cet abus de pouvoir?