Doit-on laisser le coronavirus terrasser la Journée internationale des travailleurs et des travailleuses ?
L’Union démocratique bretonne invite chacun et chacune à imaginer sa manière de célébrer cette journée : un message sur sa page Facebook ou son compte Twitter, une pancarte ou banderole à sa fenêtre avec la revendication de son choix, en français ou en breton… pour plus de justice sociale ou en soutien aux salarié·e·s, ces derniers de cordée qui sont aujourd’hui en première ligne, le personnel soignant, les caissiers et caissières, les aides à domicile, les éboueurs, les livreurs… bref, tous ceux et celles grâce à qui la vie peut continuer…
Ce 1er mai devra aussi être l’occasion de rappeler que le “monde d’après” ne pourra pas ressembler à celui d’avant. La remise en cause du néo-libéralisme est plus que d’actualité, celle du centralisme français également.
Ce premier vendredi du mois est aussi celui du rassemblement des Coquelicots, qui ne pourra pas davantage avoir lieu… L’environnement ne doit pas être la victime collatérale de cette crise par la remise en cause des normes écologiques. Il nous faudra être prêt à agir dès la fin de la crise. Fin du monde, fin du mois, même combat.
Lydie Massard, porte-parole de l'Union démocratique bretonne