Régions et peuples solidaires tenait son université d’été en Corse la semaine dernière. De très nombreux thèmes ont été abordés, autour des autonomies et des souverainetés, de la question sociale ou linguistique.
Bien évidement la situation de la Corse a été largement abordée.
Tudi Kernalegenn, docteur en science-politique, a présenté une étude sur la nécessité de réfléchir la question corse a une échelle plus grande.
Malgré la victoire des nationalistes, dit il, le processus autonomique est confronté à la mauvaise volonté de l’État.
Pour la Corse « nain politique », il faut aujourd’hui aller chercher d’autres alliances.
Explications de Tudi Kernalegenn, docteur en science-politique, chercheur à l’université de Louvain en Belgique.